" Le lycée m'a proposé un petit stagiaire et j'imagine qu'ils ont dû me préciser qu'il était autiste ", glisse Sophie Merlier-Lequette. La patronne de l'entreprise de travaux agricoles (ETA) éponyme n'a pas été marquée par cette particularité sur le CV du jeune stagiaire et ne se souvient pas en avoir fait cas, ni dans un sens ni dans l'autre. " Maintenant je sais combien ça nous a apporté d'accueillir Émilien ", formule celle qui a été formatrice en alternance avant de prendre la main de l'ETA qui emploie environ 55 équivalents temps plein.
Pour dire que l'accueil et la formation, ça la...
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