"On a toujours eu des dégâts de sangliers, mais c'était raisonnable", introduit Bernard Druesnes. Installé depuis près de 40 ans et "x générations" à Landrecies (59), en bordure de forêt de Mormal, l'éleveur a étalé photos et notes sur la table de sa cuisine, comme autant de preuves à ce qu'il avance. "Les dégâts étaient insignifiants en 1986, on en avait un peu dans les maïs. Aujourd'hui, ils sont partout dans les plaines."
Il y a 15-20 ans, le problème commence à prendre de l'ampleur, des clôtures ont été posées par la Fédération départementale des chasseurs (FDC) du Nord, rembobine-t-il. "Puis, ils ont arrêté de les entretenir et aujourd'hui, il n'y a plus de...
Il vous reste 70% de l'article à lire.
Terres et Territoires réserve cet article à ses abonnés.
Vous êtes abonné(e) ?
Si vous rencontrez un problème de connexion, contactez notre service abonnement : abonnement@terresetterritoires.com ou au 03 20 30 42 30
Abonnez-vous au magazine
Actualité
Agriculture, Consommation, Environnement, Organisations agricoles, Politique, Société
Ecoutez son histoire !
par Justine Demade Pellorce
<< Gérante de la brasserie Thiriez, Clara parle de son parcours - venue pour 3 mois... il y a 11 ans ! >>
écouter