La sécheresse et la hausse des charges impactent les éleveurs. « Les réformes se font plus vite » et plus tôt que prévu, pour baisser les dépenses en aliments qui ont augmenté d'environ 30 % cette année, explique Patrick Vaniet, président de l'association mouton boulonnais. Une préoccupation de taille alors que « tout le monde a déjà commencé à donner les stocks d'hiver » et que le marché de la viande ovine est en dents de scie depuis trois mois. Même si les éleveurs peuvent s'appuyer sur la rusticité de cette race qui peut se nourrir de mauvais foins et de pailles...
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