Votre météo par ville
Installé au Rheu (Ille-et-Vilaine), il vise à « améliorer la régularité de rendement du colza et des légumineuses et réduire le recours aux produits phytosanitaires », selon leur communiqué. Ce laboratoire, baptisé La Pépite R&D, réunit les compétences de soixante collaborateurs en génétique, pathologie, entomologie et écologie. Trois axes de travail leur sont confiés : mieux connaître les bioagresseurs, créer des variétés multirésistantes, optimiser les interactions bénéfiques des plantes avec leur environnement.
Sur le plan variétal, il s’agit notamment d’évaluer l’efficacité et la stabilité des résistances; d’évaluer l’impact des interactions entre bioagresseurs et entre stress biotiques ou abiotiques; d’intégrer le levier génétique dans un ensemble de méthodes de lutte. Un autre volet s’appuie sur l’agroécologie, qui vise à « concevoir des systèmes de production performants basés sur l’optimisation des interactions bénéfiques entre les organismes et sur la diversification végétale ».
Lire aussi : Innovation : La bioéconomie, nouvel eldorado pour l’agriculture ?