«C’est une révolution dans le monde de la génétique bovine et même dans la génétique animale dans les années à venir», se félicite Claude Grenier, directeur général du groupe Gènes diffusion lors d’une conférence de presse du 30 avril 2021. Cette innovation ? La GHP, pour Génétique de haute performance, destinée aux éleveurs de vaches Holstein.
L’idée est de proposer la génétique la plus adaptée possible en caractérisant précisément chaque élevage grâce à l’analyse du microbiote du troupeau et du contrôle des performances. Le microbiote donne des informations sur l’élevage et permet de prédire les performances d’un taureau d’un élevage à un autre, explique Gènes Diffusion.
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Concrètement, cette nouvelle méthode permet d’ «hyperpersonnaliser», pour chaque élevage, les index des taureaux du groupe coopératif en intégrant les interactions entre la génétique et l’environnement. «Cela permet d’identifier le meilleur reproducteur pour chacune des vaches afin d’atteindre vite le plein potentiel du troupeau», explique le directeur. En adhérant à ce programme, Gènes diffusion promet aux éleveurs un bénéfice net moyen de 75 euros par vache laitière et par an. La condition pour y adhérer : avoir 100 % de son troupeau génotype (une aide de 9 € par vache et 5 € par génisse est proposée).
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par Justine Demade Pellorce
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