Des carnets de croquis de François Delarozière sont nés une foule de machines toutes plus extraordinaires les unes que les autres, machines de spectacle, de ville, de rêves et d'émotions.
Une vie tournée vers l'art, l'imaginaire, l'émotion et le collectif dont les racines puisent dans une enfance au plus proche de la nature et dans la pédagogie Freinet, « une éducation autour des arts, des jeux collectifs, de l'échange, dans un univers très créatif et artistique qui m'a porté vers ce que j'ai fait ».
Après des études aux Beaux-arts, François Delarozière se destine à « être plasticien, vidéaste, à faire des performances artistiques individuelles, des machines pour le théâtre et des spectacles. Mais j'ai toujours aimé travailler dans l'espace public. » Il collabore avec des...
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