Quelques strass argentés ornent encore les murs. Au milieu de la pièce, la barre de pole dance, dont le revêtement noir usé laisse apparaître le métal, fait face à deux chevaux. À l'autre extrémité des fresques représentant une femme et un homme en tenue légère sont encore intactes. « La discothèque a bien changé même s'il reste encore quelques traces », s'amuse Sébastien Delos.
Cet ancien cadre a racheté l'année dernière le King's club, laissé à l'abandon depuis plusieurs années. Lieu de rendez-vous...
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