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L’AGPM (maïsiculteurs, FNSEA) a salué, le 1er février 2021, des «avancées» dans le référentiel de certification HVE (Haute valeur environnementale), jugeant désormais «les atouts du maïs reconnus» dans le module phytosanitaire.
La commission nationale de la certification environnementale (CNCE) a validé «deux évolutions majeures», selon le dernier bulletin AGPM – Info. La première est la suppression du malus (1 à 2 points) affectant les cultures de maïs, tournesol et prairies temporaires, selon la part qu’elles occupent dans la SAU de l’exploitation. Deuxième changement, la réintégration des surfaces de maïs dans le calcul de l’IFT hors herbicide, sachant que le maïs demande peu d’insecticides et fongicides.
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Ces modifications du référentiel HVE, complétées par d’autres comme l’actualisation de la référence régionale, doit permettre aux maïsiculteurs de «valider plus facilement le module phytosanitaire, jusqu’ici très pénalisé», estime le syndicat. Et de réclamer d’autres évolutions: sur le volet hors IFT, «où l’équité entre filières reste à atteindre» en matière de gain de points; sur le module fertilisation azotée, avec une vigilance particulière de l’AGPM concernant la polyculture-élevage.