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Ces résultats s’inscrivent « dans un contexte inflationniste particulièrement tendu et une activité bouleversée par les conséquences mondiales de la pandémie de la Covid-19 (pénuries, tensions sur certaines matières premières) », rappelle le communiqué de Lactalis. Les récentes acquisitions d’Ultima Foods au Canada, de Leerdammer — racheté à Bel en mars 2021 — et de Kraft Natural Cheese aux États-Unis, ont fait grimper la dette nette du groupe à plus de 7Mrd€.
En 2021, Lactalis a investi « près de 620 M€ » dans son outil industriel, dont le tiers a été consacré à « la modernisation des laiteries et fromageries ». « Près de 100 millions d’euros ont été investis dans les projets de responsabilité sociale », ajoute le leader du secteur laitier. « Les perspectives de 2022 s’annoncent préoccupantes » en raison de l’inflation de ses charges industrielles « à l’échelle mondiale ». Selon ses prévisions, elle devrait s’établir « entre 12 et 15% pour l’année ».
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