«Les producteurs du Nord-ouest de l’Europe devraient planter au moins 15 % de pomme de terre en moins au printemps prochain», a déclaré le 23 octobre leur organisation (NEPG).
Le 6 octobre, c’est l’équivalent français, l’UNPT, qui lançait déjà un appel à réduire de 15 % les surfaces. «En raison de la Covid-19, (…) la demande réelle de matière première des usines est d’environ 85 % par rapport à la saison précédente», explique le NEPG.
Pas de changement côté estimation de la récolte 2020, à 27,9 Mt (+ 4,5 % par rapport à 2019), même si elle apparaît «plus tardive» et que restent «encore des milliers d’hectares de pommes de terre à récolter dans les zones humides et difficiles de l’Ouest de la Belgique et en Grande-Bretagne».
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par Justine Demade Pellorce
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