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L’organisme est contre l’enveloppe minimale d’artificialisation de 1 ha pour chaque commune, qui «pourrait favoriser le mitage et freiner la densification», souligne un communiqué du 9 juin.
Il propose que seules en bénéficient les «petites communes rurales porteuses de projets de territoires, dans un cadre intercommunautaire».
Les chambres veulent rétablir le classement «artificialisé» des surfaces à usage résidentiel, de loisirs, ou d’infrastructure de transport couvertes par de l’herbe.
Concernant les bâtiments agricoles, elles proposent de ne pas les comptabiliser dans le compteur d’artificialisation au niveau communal mais national.
Les chambres s’opposent à l’instauration, pour les collectivités, d’un droit de préemption sur les espaces propices à la renaturation ou au recyclage foncier, qui «complexifierait les procédures et remettrait en cause les droits du fermier et de la Safer».
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