Il s’était fait interpeller par de nombreux députés sur les difficultés du secteur horticole. Le ministre de l’Agriculture Didier Guillaume a indiqué que la France avait demandé « des aides exceptionnelles au niveau de la Commission européenne sur ce sujet ».
En outre, « nous irons mettre un plan particulier français » pour les horticulteurs et pépiniéristes, a-t-il poursuivi lors de son audition devant la commission des Affaires économiques.
« Nous verrons tout ce que nous pouvons faire au-delà des aides horizontales que nous avons mises en place. C’est un des secteurs les plus touchés, nous allons essayer d’y répondre vraiment très très fortement. »
En revanche, Didier Guillaume a écarté la possibilité d’une reprise rapide des ventes de plants potagers sur les marchés. « Il ne peut pas y avoir d’horticulteurs et de pépiniéristes sur les marchés », a-t-il tranché, car « aujourd’hui, dans cette crise, l’horticulture n’est pas une matière prioritaire ».
« Peut-être que les choses évolueront… », a-t-il lancé. Le commerce de plants potagers a été relancé depuis le 1er avril après un feu vert oral de la secrétaire d’Etat Agnès Pannier-Runnacher. Bien relancé dans les jardineries, ce commerce reprend de manière très éparse en vente directe, en fonction du bon vouloir des préfectures, faute de texte national.
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par Justine Demade Pellorce
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