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“La hausse incontrôlée des charges, l’instabilité de marché sur certains segments et une climatologie délicate depuis plusieurs années ont certainement conduit à freiner les dynamiques initiales des producteurs pourtant prometteuses en 2022“, selon un communiqué commun de l’UNPT et du CNIPT. La région Hauts-de-France conforte son premier rang, avec une hausse de 1 800 ha liée “à la très forte demande de l’industrie de transformation française et étrangère (frites, chips, etc.) et à de possibles transferts de surfaces initialement destinées à la pomme de terre fécule vers la pomme de terre industrie“, soulignent les organisations. Deuxième bassin de production, la Champagne-Ardenne enregistre “la plus forte et notable baisse“, de 700 ha : cette région “essuie visiblement les difficultés économiques rencontrées sur le marché de la pomme de terre destinée au frais“.
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