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"Du potentiel est parti c'est sûr, mais dans quelle proportion, c'est plus compliqué à évaluer", annonce Benoît Houilliez, chef du service pommes de terre de la chambre d'agriculture du Nord-Pas de Calais. Il y a un mois (lire notre édition du 21 avril), le conseiller se voulait rassurant, ou en tout cas "pas pessimiste. Mais ça devient compliqué de dire aux producteurs d'être patients désormais".
Dans les Flandres, certains producteurs n'ont rien pu faire. C'est comme s'ils étaient encore à la fin du moins de février.